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En traçant ma route...

Sortie sur le chemin N°72 en boucle de Oô à Oô, par Labach de Cazeaux, le col de la Coume et Juniet. 30 mars 2017. Départ 10h, retour 14h45. Dénivelé 510m.
Ce jeudi ensoleillé m'a permis de terminer une balade que j'avais reconnue en partie mardi après-midi mais mon appareil photo était subitement tombé en panne peu après le départ. J'ai donc repris mon vieux compact, que j'avais failli perdre en skiant mercredi, pour m'accompagner. Voilà donc la sortie en boucle, de Oô à Oô,que je vous propose de partager, le long du chemin N°72, par le Moulin Paduran, Labach de Cazeaux, le col de la Coume et Juniet. Un parcours pas trop dur, sauf dans la montée un peu raide du col, mais de beaux points de vues sur les deux versants d'Autarrouy, dans les vallées de Labach et d'Astau, et de sympathiques rencontres animales...

En descendant vers le Moulin Paduran, quelques jolies rencontres avec des juments et leurs poulains...
 A la queue leu leu...
 Ou en tête à tête, c'est toujours très sympa...
 Donc, ce jeudi à 10h, je démarre de l'entrée de Oô, sur la gauche, mais en rive droite de la Neste, vers Cazeaux...
En face, la magnifique tour à signaux de Castet....
Voilà le Moulin Paduran que j'avais photographié mardi.
La communauté de communes avait fait reconstruire le mur et quelques abords du Moulin mis à mal par la crue de juin 2013 : un beau travail réalisé dans des conditions difficiles cet hiver...
 Au bout d'une trentaine de minutes j'arrive au croisement  des chemins qui viennent de Cazeaux ou qui partent vers les granges de Soupère, Houga et Luchon (N°78).
Je vais suivre le 72 vers Labach...
 Tout au long de l'ascension des premières rampes, sur un large sentier souvent couvert d'herbe souple, on a une vue splendide sur la vallée du bas Larboust et ses beaux villages : ici, c'est Cazeaux, entre les branches...
 Au dessus, c'est Billière et sa fameuse sapinière en partie double....
 A droite, on aperçoit bien Saint Aventin et sa belle église...
 Là, c'est un plan plus large, avec Cazeaux et Castillon de Larboust en bas, et au dessus, Billière et son hameau de Bernet à droite....
 Au bout d'une heure et quart de marche, j'arrive à proximité des granges de Labach...
 J'arrive devant le panneau indicateur et les premières granges, bien restaurées pour la plupart...
Nous sommes bien aux granges de Labach de Cazeaux, à 1220m, après une belle et douce montée. Le départ de Oô se situait à 960m environ..
Quelques ruines témoignent de l'importance et du grand nombre de ces granges foraines, tout comme en vallée du Lis, (elles aussi sur la commune de Cazeaux), qui attestent de la vigueur passée de l'activité pastorale de ces entrées d'estive...
Au fond à gauche, les pentes du "dos" du Céciré et de la Crête de la Coume des Clots.
 De très belles portes d'entrée : ici une rustique d'époque...bien conservée...
 En voilà une autre plus contemporaine...
 Cette troisième aussi n'est pas trop mal réussie...
 Une belle enfilade de granges et de murs en ruine...
Après avoir rejoint, derrière les dernières granges, la piste qui arrive de Castillon, je l'abandonne très vite pour emprunter le chemin 72 qui monte vers le Col de la Coume : tout est dit sur ce panneau...
 Les choses se corsent un peu car la pente est raide dans cet espèce de long tunnel de noisetier
Après une traversée malaisée d'une estive en gispet j'arrive à midi en haut du col, d'où l'on a cette belle vue des vallées d'Oueil et de Larboust et de la montagne d'Espiau...
Dès que je bascule sur l'autre versant, après avoir retrouvé la piste, ce sont les splendides Spijeoles qui s'offrent à moi...
 Un petit peu plus bas, je reprends un petit coup de Spijeoles...
 A gauche, le Tuc Salavané, le Mail de Castellane, la Coume de Juniet et le Mail de l'Orp...
 En face, les crêtes de Bassia où j'étais la semaine passée au départ de Gouaux de Larboust.
 Un zoom sur cette cabane, en haut de la crête de Bassia, celle du Bout du Bois, sur l'estive de Peyragudes..
Tout en bas, dans le Val d'Astau, la grange de Christian : la grange d'Espoujau et la Neste d'Oô...
Un poteau giratoire sur la piste qu'il faut quitter pour dévaler sur le sentier vers Oô...(sentiers partagé avec les pratiquants de VTT, piste N°11...
Nous sommes dans l'estive de Juniet, dont les panneaux ont beaucoup blanchi sous les outrages du temps...
 Cette belle perspective du val d'Astau et des rondeurs du Haut Larboust...
 Un zoom sur les ravages de la crue de 2013 sur les terres agricoles : impressionnante érosion des berges par les flots déchaînés.. 
Du travail en perspective dans le cadre du plan de programmation et de gestion de la compétence GEMAPI (gestion de l'eau, des milieux aquatiques et de prévention des inondations) pour la communauté de communes...
13h - Le menu du jour : 
Au creux d'une ficelle XL, un cœur de boudin épicé de chez Martial Vargas (sous la Halle), en robe d'endives (le boudin, pas Martial ! )..
Eclats de tome de brebis de chez Bouchait (toujours sous la Halle).
Mélange de Fruits secs moelleux (abricots, figues, dattes, raisins,) de chez Maria sur le marché et mandarine.
Arrosé d'un grenache noir du Pays d'Oc.
Le tout clôturé par un thé vert au gingembre...
Puis, un petit moment de sieste (postprandiale), au soleil, sur l"herbe, près de la cabane de la Barguère de Oô... jusqu'à 13h45

 Voilà la vielle cabane des Barguères de Oô qui surplombe la vallée...
En bas la Palenque, chère à Michel et Vivi...
En dessous de la route, la Neste a entamé la berge...
 Un plan plus rapproché de cette belle grange de la Palenque...
 Décidément, ici comme en Val de Toran, les écureuils ne me craignent pas trop...
Il est vraiment très joli et ne s'affole pas trop....
14h 30, la balade touche à son terme après une belle descente : j'arrive en surplomb de la pisciculture d'Alain Palacin. C'est visiblement l'heure du repas...pour les truites !
Une vue plus large des installations de cette pisciculture qui travaille en bio...
Elle avait subi de gros dégâts lors de la crue de 2013, comme celle d'Emilien Nouals à Antignac......
Ces deux pisciculteurs locaux ont heureusement repris leur exploitation avec beaucoup de courage et d'abnégation, et eux aussi vendent leur excellente production sur le marché de Luchon....
 A table !!! Visiblement, personne ne veut laisser sa part au voisin....
Retour au départ de la balade 14h 45 : un petit coup d'œil à ces jeunes veaux et à leur mère, qui se reposent dans l'entrée de l'étable proche du parking où j'ai garé ma voiture...
Je vais aller les imiter assez rapidement, car j'ai mal aux jambes suite à ma reprise du ski, mercredi, après une si longue coupure......
Voilà pour aujourd'hui.
A bientôt....
L'HISTOIRE OFFICIELLE
Luis PUENZO

























Ciné Latino m'a donné l'occasion de découvrir un film ancien de l'Argentin Luis Penzo (film primé aux Oscars en 1986, et prix d'interprétation féminine à Cannes en 1985 pour Norma Aleandro). 

Il relate la prise de conscience progressive d'une enseignante, vivant pourtant bourgeoisement sa vie d'épouse d'un affairiste, intimement lié au pouvoir militaire qui fait régner la dictature sur l'Argentine avec son cortège de répression politique, d'emprisonnement d'opposants et d'exactions en tous genres. 
Mais ce pouvoir se désagrège sous la poussée populaire et la vague de manifestations à Buenos Aires, dont celles, célèbres, des Grand-Mères de la place de Mai qui luttaient pour retrouver les disparus et plus particulièrement les bébés et les enfants des opposants réprimés, souvent adoptés moyennant finances par les proches du pouvoir...
Alicia, remise en cause jusque dans son enseignement et ses méthodes par ses propres élèves, lève peu à peu le voile sur l'obscurité qui entoure l'adoption 5 années auparavant de la petite Gabi, dont elle recherchera et retrouvera la famille : c'est ainsi qu'elle engage son questionnement et sa contestation, jusqu'à la dénonciation, de "l'Histoire Officielle", celle que le régime dictatorial et populiste imposait en tout domaine.
Un bon film, qui rappelle étrangement ce qui s'est aussi produit en Espagne après la guerre civile avec les enfants de certains Républicains arrêtés ou assassinés par les soins de la machine franquiste.
Cette version de L’histoire officielle a été restauré en 4K à partir du négatif original. 
Le réétalonnage a été mené par le réalisateur et le chef opérateur Félix Monti. Un excellent résultat.


LION,
de Garth Davis.




Un très beau film, qui traite de la recherche d'identité et qui s'inspire d'une histoire vécue. 
C'est un témoignage magistral  de l'importance pour les enfants adoptés, quels que puissent être le bonheur ou la sécurité qu'ils ont pu gagner par une adoption réussie, de savoir avec le plus d'exactitude possible, qui et où sont leurs familles naturelles.
Peu leur importent les sacrifices ou les traumatismes, pour accéder à ce savoir, pièce essentielle de la construction de leur présent, de leur futur et de leur identité profonde.
De remarquables acteurs, et des scènes émotionnellement percutantes.
Mais une "happy end"...




L'AUTRE CÔTE DE L'ESPOIR,
d'Aki Kaurismäki.



Avec son style épuré et volontiers décalé, Aki Kaurismäki dévoile de façon très critique un système d’accueil de réfugiés capable de renvoyer chez eux des migrants fuyant des pays en guerre et une mort programmée. 

Et même si  dans "L’autre côté de l’espoir" , il traite cette thématique en ayant choisi le parti de la comédie et de la musique qu'il adore, Aki Kaurismäki dresse brillamment la critique d'une réalité, plutôt inquiétante et sombre du sort et du statut des migrants, actuellement poussés vers l'Europe.
Mais il ne perd pas espoir, espoir qu'il illustre par l'empathie et  le soutien que Wikhström, le patron de restaurant (qui lui aussi refait sa vie)  et son équipe accordent à Khaled, un Syrien d'Alep, fuyant la mort et recherchant désespérément sa sœur perdue dans le périple de l'exil.

La musique scande le rythme de ce film par de multiples pauses de groupes de rue, qui le ponctuent de sets filmés en intégralité : lorsque la magnifique chanson interprétée par Haji avec un saz est brutalement interrompue, c'est comme si la Finlande, et donc l’Europe, ne voulait plus entendre l'appel, les voix et les douleurs de ces migrants pourtant pacifiques et travailleurs.
Un film drôle et parfois burlesque autour d'un thème qui reste grave et inquiétant voire tragique du sort réservé aux exilés par nous, les européens, presque amnésiques des exodes du siècle passé et de ses totalitarismes et de leurs guerres abominables...
No pasaran !...ça s'impose plus que jamais !


PARCE QUE LES CHOSES PEUVENT ÊTRE DIFFÉRENTES,
Manuela CARMENA
(Indigène Editions)

En Mai 2015, Manuela Carmena a été élue maire de Madrid.
Juge, qui a été amenée à occuper les plus hautes fonctions au sein de la justice espagnole, Manuela Carmena pose comme un préalable évident, la nécessité de la compétence lorsque l’on prétend gérer les affaires publiques et non l’attachement idéologique, ou plutôt partisan, l’appartenance et la fidélité à un appareil, voire à ses seuls dirigeants. 
Poussée à la fois par les indignés de la Puerta del Sol, les réseaux sociaux et les partis traditionnels de gauche, elle a pris la tête d'une liste d’ouverture de gauche, Ahora Madrid, proche de Podemos, et elle a renversé la majorité conservatrice du Parti Populaire au pouvoir depuis 1991.
Non conformiste, courageuse, originale, volontiers provocatrice, Manuela impulse patiemment une « culture non-violente féminine-féministe » qui concrétise les attentes d’une société fatiguée, voire épuisée et désillusionnée, des valeurs machistes, verticales, rigoristes et d’une autorité insupportable : elle leur oppose et leur substitue des pratiques fondées sur des valeurs horizontales, souples, de persuasion, de conviction et d’habileté auxquelles une majorité sociale aspire aujourd’hui majoritairement en Espagne, bien au-delà des fractures idéologiques.
Une nouvelle vie démocratique s’expérimenterait-elle à Madrid ? »
Voilà une magnifique et volontiers contagieuse invitation à voir le monde politique avec un autre regard pour l’investir autrement : LE politique (comme art de vivre ensemble dans la Cité) autant que LA politique (comme technique de prise du pouvoir et de conservation de celui-ci). 
Une lecture que je recommande fortement et qui m'a rasséréné, alors que se profilent de nouvelles échéances politiques dans un pays qui se targue d’avoir ré-inventé la démocratie, mais aussi et surtout dans le nôtre...




VOUS N'AUREZ PAS MA HAINE,
Antoine LEIRIS
( Fayard, Le Livre de Poche)

La mort d'Hélène, une des 130 victimes des attentats du 13 Novembre plonge son époux Antoine Leiris dans la douleur, l'hébétude et le doute. La seule certitude qui l'habite est que l'unique vraie réponse que lui et leur fils Melvin, 17 mois, doivent opposer aux assassins est de leur refuser leur haine, pourtant si légitime : ce serait faire leur jeu.
C'est un journal intime, bouleversant et poétique, qui nous plonge dans une incontournable empathie pour ce père et son petit enfant, pendant cette douzaine de jours d'une vie dont l'évidence était de la vivre à trois et qu'il faut reconstruire à deux.

 


“Vous n’aurez pas ma haine”
Vendredi soir vous avez volé la vie d’un être d’exception, l’amour de ma vie, la mère de mon fils mais vous n’aurez pas ma haine. Je ne sais pas qui vous êtes et je ne veux pas le savoir, vous êtes des âmes mortes. Si ce Dieu pour lequel vous tuez aveuglément nous a fait à son image, chaque balle dans le corps de ma femme aura été une blessure dans son coeur.
Alors non je ne vous ferai pas ce cadeau de vous haïr. Vous l’avez bien cherché pourtant mais répondre à la haine par la colère ce serait céder à la même ignorance qui a fait de vous ce que vous êtes. Vous voulez que j’ai peur, que je regarde mes concitoyens avec un oeil méfiant, que je sacrifie ma liberté pour la sécurité. Perdu. Même joueur joue encore.
Je l’ai vue ce matin. Enfin, après des nuits et des jours d’attente. Elle était aussi belle que lorsqu’elle est partie ce vendredi soir, aussi belle que lorsque j’en suis tombé éperdument amoureux il y a plus de 12 ans. Bien sûr je suis dévasté par le chagrin, je vous concède cette petite victoire, mais elle sera de courte durée. Je sais qu’elle nous accompagnera chaque jour et que nous nous retrouverons dans ce paradis des âmes libres auquel vous n’aurez jamais accès.
Nous sommes deux, mon fils et moi, mais nous sommes plus fort que toutes les armées du monde. Je n’ai d’ailleurs pas plus de temps à vous consacrer, je dois rejoindre Melvil qui se réveille de sa sieste. Il a 17 mois à peine, il va manger son goûter comme tous les jours, puis nous allons jouer comme tous les jours et toute sa vie ce petit garçon vous fera l’affront d’être heureux et libre. Car non, vous n’aurez pas sa haine non plus.

NERUDA, 
de Pablo Larraín.




La poésie est une arme chargée de futur ...(Comme l'écrivait si bien Gabriel CELAYA..).

Et les pouvoirs fascisants, populistes et totalitaires du siècle dernier l'ont partout pourchassée.
Sachons nous en souvenir par les temps qui courent, où les mêmes menaces pèsent encore...


Pour bien démarrer la dixième édition de Ciné-Latino au cinéma Rex de Bagnères de Luchon, Maud et Josiane nous proposent un très beau film, façon road movie, qui loin d'être une biographie besogneuse de Pablo NERUDA, nous entraîne dans une aventure de type chasse à l'homme, du point de vue de celui qui mène la traque, ou plutôt croit la mener.
Mais au final, c'est le formidable poète qui maîtrise cette fuite, jalonnée de dédicaces au policier qui arrive toujours en retard, sauf au rendez-vous avec la mort..
Une peinture foisonnante et parfois onirique d'une tranche de vie, d'un personnage complexe aux multiples facettes, engagé dans la lutte contre le pouvoir populiste et/ou fascisant qui a longtemps régné en Amérique du Sud et au Chili en particulier : on y croise d'ailleurs Pinochet alors jeune directeur de prison aux portes du désert salé.
L'oeuvre majeure de NERUDA, El Canto General, et son souffle épique et poétique est constamment présente dans ce film, qu'elle traverse comme elle a traversé la vie de ce militant communiste, ami de Frédérico GARCIA LORCA, de José GUILLEN, de Rafael ALBERTI et de Pablo PICASSO.
Il est mort 10 jours après l'assassinat de Salvador ALLENDE en septembre 73.
Extrait de "Confieso que he vivido" :
« Je veux vivre dans un pays où il n'y ait pas d'excommuniés.
Je veux vivre dans un monde où les êtres soient seulement humains, sans autres titres que celui-ci, sans être obsédés par une règle, par un mot, par une étiquette.
Je veux qu'on puisse entrer dans toutes les églises, dans toutes les imprimeries.
Je veux qu'on n'attende plus jamais personne à la porte d'un hôtel de ville pour l'arrêter, pour l'expulser.
Je veux que tous entrent et sortent en souriant de la mairie.
Je ne veux plus que quiconque fuie en gondole, que quiconque soit poursuivi par des motos.
Je veux que l'immense majorité, la seule majorité : tout le monde, puisse parler, lire, écouter,
s'épanouir. »


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Traduction

Photo Jean-Louis REDONNET. Fourni par Blogger.

A PROPOS...




BALADES, CULTURE & CITOYENNETÉ

Pourquoi un blog, et pourquoi celui-là ?



22-02-2017

Il y a un bout de temps que je souhaitais créer un blog pour y faire, en toute modestie, une place à l'expression de mes valeurs, de mes engagements, de mes analyses citoyennes ou "politiques", mais aussi de mes goûts, voire de mes passions, comme celles de la montagne et de la photo.

Cela m'apparaît aussi comme l'un des meilleurs moyens de partager largement avec des amis, même lointains par la distance, une façon d'envisager et d'entrer dans cette communication avec la nature, qui reste en dernier ressort notre maîtresse et avec laquelle il faut se comporter avec respect et humilité.

Aujourd'hui, j'arrive au bout de ce premier travail de conception qui reste à parfaire, à faire progressivement évoluer et que je soumets à votre contribution dans un esprit positif et constructif.

Je ne communiquerai qu'avec des interlocuteurs identifiés et amicaux, les anonymes n'ayant pour moi pas leur place dans un quelconque échange.
Bonne lecture et à bientôt!

19-03-2020

Après plus d'un an "d'absence" sur ce blog, je viens de retrouver une disponibilité qui va me permettre de poursuivre et peut être de bonifier la démarche de partage que j'avais initiée.
Bien sûr j'avais publié mes sorties (une quarantaine) sur Facebook, mais de les ordonner et de les mettre à disposition sur "mes balades", vous donnera plus de facilité et de choix pour les parcourir le moment voulu.
S'y ajouteront mes lectures, les films que j'aurai vus et mes écrits au fil de l'eau de l'actualité, car c'est un mode d'expression que je privilégie lorsque je ressens le besoin impérieux de prendre parti ou d'évacuer des émotions ou des peines.
Ce partage est ma vision de la citoyenneté active et la certitude que la culture et la connaissance sont les antidotes aux fanatismes, dérives idéologiques et autres turpitudes de notre monde.
N'hésitez pas à vous exprimer ou à commenter dans le respect de l'esprit de ce blog.



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