MA CABANE, Une échappée sauvage.
MA CABANE, Une échappée sauvage.
Olivier GARANCE avec Delphine SAUBABER
L'ICONOCLASTE
Voilà un livre qui m'a parlé, parce qu'il a exprimé simplement ce que cette montagne des Pyrénées centrales, "notre montagne", a comme pouvoir d'attraction par sa beauté et son caractère encore préservé, parfois quasi sauvage ; ce qu'elle suscite aussi chez moi de respect, d'humilité et ce qu'elle offre de capacité de se ressourcer d'une manière simple, basique, à deux pas de chez nous, puisque ces échappées ont pour cadre la montagne du Mont Aspet, près de Nistos.
Olivier Garance nous y décrit aussi sa trajectoire personnelle de gamin difficile, émaillée de ruptures douloureuses, et nous montre bien que malgré sa réussite, on ne guérit jamais complètement de son enfance, même si l'avancée en âge nous permet parfois de mieux en comprendre les causalités complexes.
J'y ai retrouvé des traces d'un Sylvain Tesson dans son immersion dans la nature, son rapport au temps et son besoin d'échapper à la vie citadine, à ses conventions et à leurs absurdités pesantes tant dans la vie professionnelle que dans l'existence quotidienne.
On a besoin de ces cabanes, de ces refuges, de ces sentiers perdus, même si ce n'est que pour peu de temps : c'est vital pour notre équilibre personnel.
Une agréable et saine lecture.
Mais Clara Dupont-Monod, chroniqueuse sur France Inter, en a parlé mieux que moi :
"https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-clara-dupont-monod/la-chronique-de-clara-dupont-monod-13-juin-2019"
Olivier GARANCE avec Delphine SAUBABER
L'ICONOCLASTE
Voilà un livre qui m'a parlé, parce qu'il a exprimé simplement ce que cette montagne des Pyrénées centrales, "notre montagne", a comme pouvoir d'attraction par sa beauté et son caractère encore préservé, parfois quasi sauvage ; ce qu'elle suscite aussi chez moi de respect, d'humilité et ce qu'elle offre de capacité de se ressourcer d'une manière simple, basique, à deux pas de chez nous, puisque ces échappées ont pour cadre la montagne du Mont Aspet, près de Nistos.
Olivier Garance nous y décrit aussi sa trajectoire personnelle de gamin difficile, émaillée de ruptures douloureuses, et nous montre bien que malgré sa réussite, on ne guérit jamais complètement de son enfance, même si l'avancée en âge nous permet parfois de mieux en comprendre les causalités complexes.
J'y ai retrouvé des traces d'un Sylvain Tesson dans son immersion dans la nature, son rapport au temps et son besoin d'échapper à la vie citadine, à ses conventions et à leurs absurdités pesantes tant dans la vie professionnelle que dans l'existence quotidienne.
On a besoin de ces cabanes, de ces refuges, de ces sentiers perdus, même si ce n'est que pour peu de temps : c'est vital pour notre équilibre personnel.
Une agréable et saine lecture.
Mais Clara Dupont-Monod, chroniqueuse sur France Inter, en a parlé mieux que moi :
"https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-clara-dupont-monod/la-chronique-de-clara-dupont-monod-13-juin-2019"
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